jeudi 19 juillet 2012

Ne pleures pas


Souviens-toi, enfant blanc, en ces temps viciés, la peur est ton plus terrible ennemis.
Armes ton coeur et ton âme brillera plus qu'un un millier de Soleil.
Nos ennemis vacilleront à notre vue, ils succomberont enveloppés par la lumière Invaincue.

S'adressant à son frère;
Nous sommes les enfants du Soleil, respectant mère nature, honorant les Dieux, sous couvert de la lumière,
Eux sont l'engeance de l'obscurité,  de la déchéance et de la décadence, serviteurs des maîtres de l'ombre,
Là où devrait se tenir un monde de lumière, de nature et de vie, un monde où tout enfant blanc devrait naître
Se tient un monde de fer, de béton et de mort, un monde froid et cruelle, où nos enfants ont un avenir sombre,

Nous portons nos enfants comme des êtres sacrés, ils sont notre race, notre sang, notre immortalité,
Eux les sacrifient sur l'autel des droits de l'homme, exterminés, au sein même du ventre de nos femmes,
Là où devrait se tenir l'amour et l'innocence, le sourire de nos enfants, les cris de joies de nos biens-nés,
Se tient la haine et la perversion, les larmes et les cris de nos petits, tués par la lame des sans-âmes,

S'adressant aux sans-âmes;
Saluez nos femmes, se sont nos reines, inclinez-vous, se sont nos déesses, épouses des véritables hommes,
Elles sont à l'image d'Europa, que vous souillez, violez et tuez, vous, êtres immondes êtes la lie de l'humanité,
Vous parlez de rédemption pour la traite négrière, alors que la traite des blanches fait partie de vos normes,
La beauté de la femme blanche est comparable à sa Majesté la Terre, croisons le fer pour nos biens-aimées,
« Ubi tu Gaius ego Gaia! »

Saluez nous, nous sommes des rois, inclinez-vous, nous sommes des dieux, époux des plus belles femmes,
Nos civilisations ont honoré, honorent et honoreront les héros, les victoires et la gloire, nous sommes aryens,
D'autres n'honorent que les morts,  la pleurnicherie et la victimisation, vous, nez crochus, êtres sans-âmes
Nous prendrons vos vies de nos propres mains, le monde alors, par nos actes, nous jugera, à la toute fin,
« Ubi tu Gaia ego Gaius! »

Que les traitres de la race blanche qui lisent ces lignent voient leur lignage s'éteindre.

Nous devons nous battre pour préserver l'existence de notre peuple et l'avenir des enfants blancs.
Nous devons nous battre car la beauté de la femme aryenne blanche ne doit pas disparaître de la terre.