jeudi 31 mai 2012

Un Einherjar


Mesdames et messieurs, m'accorderiez vous votre attention ? Bienvenue au spectacle, j'écris pour vous ce soir,
Que mes mots engendrent vos sentiments, d'une imagination débordante et florissante, la double face du réel...
Prenez plaisir en posant vos yeux ici, le sanctuaire virtuel du Soleil Aryen et sentez vivre en vous ce texte.

Vivez le comme vous vivez votre vie, en étant sûr d'être dans votre droit, en étant sûr d'être dans le juste, en étant sûr d'être dans la vérité. Ressentez le comme vous ressentez en vous ce droit, cette justice et cette vérité car la nature donne la vie et ne réclame rien de plus ni rien de moins que votre mort et tout ce qui restera de vous, cela ne sera rien d'autre que les actes accomplis durant cette vie prêtée...

Tes yeux et tes oreilles saignent, prends place et tais toi, tu verra que voir c'est croire,
Un indices de ce que tes yeux voient, ton envie de sortir, doucement, une porte s'ouvre dans le noir,
L'éblouissant Soleil en plein visage, débris fumant dans les décombres, l'explosion de ta réalité,
Le veux tu ? En as tu besoin ? Alors vérifies que tu respires toujours, le spectacle vient de débuter,

Les alentours sont dévastés, cracheurs de flammes en action, détruisent tes merveilles, bonsoirs,
Regardes vers les cieux et voient les s'abattent sur toi, maintenant, tu vois que voir c'est croire,
Tu es en sang, tu l'as voulu, tu souffres, tu en as besoin , à genoux, il est temps de te relever,
Seul sur les gravas, ta fureur comme armure, tu respires toujours, le spectacle est à peine commencé,

Les battements de ton coeur résonnent dans ta tête, tambour de guerre, le soleil n'est plus, voilà le soir,
Devant, se tient l'armée du monde et toi, soldat de ceux qui sont déjà mort, tu montrera que voir c'est croire
Leur cor de guerre chante son hymne, ils veulent jouer une dernière mélodie avec toi, sois sans pitié,
Ils arrivent, fait exploser ta rage en une fureur divine, respires encore, le spectacle n'est pas terminé,

Désir bestial, sentiment humain et puissance divine, tu es un ours, un homme, un dieu et eux ne sont que des loirs,
Le veux tu ? En as tu encore besoin ? Alors continues de respirer et frappe, ils verront que voir c'est croire,
La colère te submerge, imposes leur ton droit de vie et de justice, nécessité fait loi, frappe, jusqu'à t'épuiser,
Tu es la fureur irrépressible, un berserker, un einherjar vivant, respires, le spectacle est bientôt terminé,

Au sol, ta vison s'éclaire, tu es épuisé, dans un état de bien être mais tu mourras, seul, en cette nuit noire,
Un autre jour se lèvera bientôt sans toi, face au Soleil Invaincu, ils ne pourront que voir et croire,
Le combat est père et roi de tout. Il produit les dieux et les esclaves aux noms de ses filles, justice et liberté,
L'homme n'a qu'une majesté, qui est de savoir mourir, ne respires plus mon frère, le spectacle est terminé...

Le droit universel n'existe pas, avoir le droit de vivre se mérite et la nature ne le donne jamais gratuitement.
La justice universelle n'existe pas, la nature n'a rien crée d'équitable ou neutre, justice et liberté se gagnent.
La vérité seule est universelle, elle est dicté par les lois de la nature divine, créatrice de tout.

Ce que nous appelons nature est tout ce qui nous entoure, son mode de fonctionnement fait loi, nier son existence c'est nier la vérité, c'est nier que le lion mange la gazelle, c'est nier que les faibles périssent et que les forts survivent, c'est nier que les enfants sont issus de l'union d'un homme et d'une femme; c'est nier que le soleil est porteur d'énergie, c'est nier que l'eau mouille ou que le feu brûle, nier les lois naturelles c'est nier la réalité.

La vie est une compétition, une guerre, non individuelle mais collective, de par sa famille, son peuple et sa race. Ce texte était pour vous, que vous sachiez, pour que lorsque l'aube sera là, vous ne pourrez pas dire que vous ne saviez pas...car la pitié ne nous sera pas donnée...

Nous devons nous battre pour préserver l'existence de notre peuple et l'avenir des enfants blancs.
Nous devons nous battre car la beauté de la femme aryenne blanche ne doit pas disparaître de la terre.

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